Entreprise créée en 2017 à Bignona
Maxime revenait de 12 jours d’absence pour voir sa famille – mais il a un gars qui s’occupe fort bien des porcs pendant son absence. Il y a actuellement 9 porcs, dont un très gros qu’il a déjà vendu pour 350’000 FCFA. Il n’a plus qu’une truie, en bas âge. Maxime a réduit la surface où il fait de l’élevage – peut-être suite aux problèmes renconrés : il donne l’impression de vouloir se concentrer sur l’engraissement des porcs, une chose qu’il pense faire derrière la future dibiterie. Maxime a maintenant une pépinière de laitues à l’intérieur de la porcherie, ainsi que beau- coup d’herbe avec laquelle il nourrit ses porcs. Il a aussi fait une petite diversification avec une pépinière de citronniers.
La dibiterie (débit de viande) de Maxime
La construction de la dibiterie est presque terminée, il manque le carrelage et le faux plafond. Il y aura un espace pour la cui- sine, un guichet pour les gens qui viennent acheter la viande découpée, crue ou grillée, ainsi qu’un grand espace qui servira de restaurant, avec huit tables, et une télévision. Il a aussi déjà acheté un con- gélateur de 800 litres, et pense ouvrir la dibiterie en janvier prochain. Sa dibiterie est assez proche du centre de la ville, et ce sera la première et unique dibiterie à Bignona – Maxime est sûr que ce sera un succès. Il aura un emplacement derrière la dibiterie pour l’engraissement des porcs. Ceci évitera le stress du transport des animaux. Il pense aussi acheter de jeunes porcs pour les engraisser.
Le porc vendu pour 350’000 FCFA
Avec les fonds de Sénégalité, il a pu acheter une camionnette Renault Express, qui lui facilite le transport des aliments – notamment les restes alimentaires des restaurants. Comme il n’aime pas conduire, il a trouvé un jeune qui conduit pour lui. Enfin Maxime suit également une formation sur le séchage de fruits avec des séchoirs solaires.
Maxime explique l’agencement futur de la salle de restaurant attenant à la dibiterie